Travail salarié : commerce de l’humain

par Guillaume Getz, Pratiques N°80, février 2018

Guillaume Getz Médecin généraliste Celui ou celle qui n’a pas de capital doit vendre une partie de son être pour vivre. En cela, la majorité de l’humanité transforme son corps en marchandise. Le point commun est la souffrance, au travail et dans la vie en général. M’en occuper est mon travail de généraliste. À première vue, lorsque l’on parle de marchandisation du corps, on pense commerce d’une partie du corps (vente d’organe) ou commerce d’un service du corps (gestation pour (…)

La Revue Pratiques réserve cet article à ses abonnés.

Pour lire la suite, abonnez-vous ou

S'abonner

Abonnement avec accès immédiat aux articles.


Voir les offres d'abonnements

Commander ce numéro

Pratiques N°80 La marchandisation des corps

Lire aussi

N°80 - janvier 2018

Edito : La traque

par Sylvie Cognard
Sylvie Cognard Médecin retraitée Combien celui-là ? 500 dollars Et celle-là ? 350 dollars Et le petit là, c’est son gosse ? Oui Combien ? 200 dollars Je te prends les deux pour 400. Top là pour …
N°80 - janvier 2018

La privatisation du vivant

par Céline Lafontaine
Céline Lafontaine Professeure agrégée de sociologie à l’université de Montréal, auteure notamment de L’empire cybernétique. Des machines à penser à la pensée machine (Seuil 2004) et de La société …
N°80 - janvier 2018

Une intégrité dangereuse…

par Philippe Pascal
Philippe Pascal Inspecteur à l’URSSAF Pratiques : Parlez-nous du combat que vous avez mené… Philippe Pascal : Mon père était journaliste à La Marseillaise, journal communiste. J’ai été élevé dans …
N°80 - janvier 2018

Lutter contre le trafic d’organes

par Beatriz Dominguez-Gil
Beatriz Domínguez-Gil Docteure en médecine Organización Nacional de Trasplantes Madrid, Spain Le rôle des professionnels de santé est de combattre le trafic d’organes qui a la particularité de …