Évelyne des Zèbres toulousains
– Sans vouloir vous contredire, je tiens à mentionner que tout ceci est strictement foljectif.
– Mais chaque fois que je la croise dans la rue, que je la guette derrière ma fenêtre, je sens bien, Docteur, que mon cœur s’emballe, je ressens même comme une douleur dans la poitrine qui serre. Et vous me dites que mon cœur est normal, ma troponine aussi, que c’est foljectif et qu’il faut que je reprenne mes gouttes. Et moi je vous dis que je suis peut-être fou d’amour, ma non troppo, et que vous n’y connaissez rien !!