N°89 - avril 2020
L’incorrigible symptôme ou la parole maltraitée
par , Pratiques N°89, mai 2020
Fabrice Leroy,
Psychologue au CMPP La Passerelle à Paris, psychanalyste.
Dans ce qui suit, j’aimerais développer un peu l’idée suivante : d’une part, les maltraitances institutionnelles sont avant tout des maltraitances politiques et d’autre part, ce qui est ainsi maltraité met en jeu ce qui est précisément au carrefour de l’individuel et du collectif, à savoir la parole.
Toute parole, qu’elle vienne d’un patient ou d’un soignant, d’un individu ou d’une équipe, inscrit non pas (…)
La Revue Pratiques réserve cet article à ses abonnés.
Pour lire la suite, abonnez-vous ou Identifiez-vous