De l’angoisse à la « nature » des femmes

Paraphrasant le titre du célèbre ouvrage de Georges Devereux, De l’angoisse à la méthode, on souligne ici la façon dont l’enfouissement du travail de care dans la féminité permet d’éviter le sujet angoissant de la vulnérabilité.

Pascale Molinier
Professeur de psychologie à Paris 13


par Pascale Molinier, Pratiques N°52, janvier 2011

Documents joints

Lire aussi

N°52 - février 2011

Brevets ou « trouvailles » ?

par Natalia Calderón Beltrán
Natalia Calderón Beltrán, Étudiante en histoire et en sciences politiques En tant que nounou par intermittence et historienne en herbe, j’ai découvert que je faisais un travail invisible. Pour …
N°52 - février 2011

---- Deuxième partie : La place des femmes

La servitude à laquelle ont été éduquées les femmes est toujours d’actualité sous des formes différentes selon les milieux. Si d’aucunes ont réussi à s’extraire de la maison pour travailler, c’est …
N°52 - février 2011

Professionnelle

par Martine Lalande
Martine Lalande Médecin généraliste Salomé vient du Liban. Rejetée par sa famille après la mort de son mari, elle s’est engagée comme jeune femme au pair dans une riche famille …