N°63 - octobre 2013
Sur la ligne de crête
par , Pratiques N°63, novembre 2013
Avec certains patients, en faire suffisamment, c’est en faire beaucoup du fait de leur histoire psychique, sociale, ou médicale. Il vaut mieux que le soignant soit attentif alors aux ressentis psychiques en jeu entre amour et agressivité.
Elisabeth Maurel-Arrighi,
médecin généraliste
Ne pas en faire trop, ce n’est pas si simple. Surtout quand on est en face de patients qui ont manqué de tout, autrefois ou maintenant, quand il nous semble que les collègues n’en font pas assez, quand les différentes autres institutions sont défaillantes. Quand les malheurs et les injustices sont inscrits dans le corps, depuis longtemps et lourdement, alors il y a fort à faire. Mais la limite n’est pas qu’au surmenage du soignant. Il (…)
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