N°64 - février 2014
Secret posthume
Pratiques N°64, janvier 2014
Anaïs Tasie
médecin généraliste
Quand la fille d’une vieille dame que j’avais suivie un bon nombre d’années jusqu’à sa mort m’a demandé, avec accusé de réception, le dossier de sa mère, j’ai refusé. Vertueusement, je me devais de garantir le secret médical à ma patiente, au-delà de son trépas. Du moins, c’est ce que je croyais. Quand elle a demandé à l’Ordre des Médecins d’intercéder, j’ai appris qu’elle était dans son droit. En effet, la loi de 2002 sur les droits des patients (…)
La Revue Pratiques réserve cet article à ses abonnés.
Pour lire la suite, abonnez-vous ou Identifiez-vous