Chers lecteurs, auteurs, amis,
Quelques nouvelles de Pratiques et une invitation à nous rejoindre et nous aider à poursuivre.
Comme toutes les revues qui reposent sur un travail bénévole, engagé et disposant de peu de moyens humains et matériels, vous êtes nos meilleurs ambassadeurs pour faire connaître notre travail.
Aussi, parlez de la revue autour de vous, faites circuler votre exemplaire auprès de ceux que vous pensez pouvoir intéresser, Mettez-le dans votre salle d’attente, présentez-le lors de vos interventions ou conférences, demandez à Marie-Odile Herter, notre secrétaire, qu’elle fasse parvenir un ou plusieurs exemplaires de votre part aux contacts que vous pensez pouvoir gagner à notre cause. C’est le bouche-à-oreille qui est notre meilleur moyen d’être mieux diffusé.
Plusieurs personnes nous ont rejoints à la suite de notre appel paru dans le n° 87 d’octobre 2019. Elles ont enrichi notre réflexion et contribuent régulièrement au travail exigeant de la revue dans une ambiance chaleureuse. C’est grâce à elles si Pratiques continue à paraître.
Notre atout majeur, c’est la contribution amicale et pertinente de différents points de vue d’usagers, de soignants, de médecins, d’orthophonistes, de psychistes, d’économistes, de chercheurs en sociologie, en philosophie, en anthropologie, psychologie, psychiatrie, psychanalyse, art… En fait, tous ceux et celles qui, de leur place, expérimentent et se confrontent au réel des difficultés de la vie quotidienne des personnes, soignées et soignantes, sont les éclaireurs dont les avis sont précieux.
Parmi ces personnes, signalons quelques retraités sans la contribution desquels nous ne pourrions mener à bien la mission que nous nous donnons de ne rien tolérer qui heurte nos valeurs et de tenter de relayer les expériences qui, ici et là, montrent que des choses sont possibles à qui veut bien déborder le cadre que les instances tentent de nous imposer. Ils ont encore tellement de choses à transmettre quant à leur expérience d’autres modèles, d’autres expériences, réussites, échecs… Ils sont la mémoire précieuse de ce qui a existé qui nous invite à résister à la dégradation volontaire des conditions de soins au nom d’idéologies qui n’ont pas fait la preuve de leur intérêt.
Nous continuons à espérer que se joignent à nous des personnes encore au travail, moins disponibles mais confrontées aux situations qu’engendre la politique délétère des soins. Une grande diversité de points de vue ne peut que nous enrichir et est indispensable à la pertinence de la revue.
Par conséquent, la porte reste grande ouverte à toutes les personnes qui pourraient nous aider à tenir cette place indispensable d’une posture critique en matière de santé qui n’a jamais été aussi nécessaire en ces temps de délitement d’un service public de qualité.
Ainsi, quelles que soient vos disponibilités, vos envies et compétences, Pratiques a besoin de vous.
