Isabelle Canil Orthophoniste
Dans Le roman de Louise, d’Henri Gougaud, je lis page 41 de l’édition de poche : « Il est des familles de femmes qui passent de pleines journées plantées debout, les jambes nues, dans l’eau grise des bords de Seine. Qu’attendent-elles ? Des sangsues. Quand elles en (…)