La prostitution n’est pas une liberté, ni un art ; c’est une violence, une exploitation sordide. Les droits réclamés par les collectifs de prostituées sont des droits universels. L’Etat doit mettre en place des mesures pour permettre à celles qui le veulent de sortir de la prostitution, y compris les étrangères et non encourager le harcèlement policier comme le veut la loi Sarkozy.