Pour enseigner heureux, émancipons-nous !

Si l’on doute de ses capacités à la sortie de la faculté, c’est parce que l’on n’a pas été formé à la complexité des situations rencontrées en médecine générale. C’est de cette complexité qu’elle est la spécialité, et pour l’enseigner, il faut sortir des livres et de l’hôpital.

Didier Ménard
Médecin généraliste


par Didier Ménard, Pratiques N°55, octobre 2011

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