N°64 - février 2014
Le blessé et le secret
par , Pratiques N°64, février 2014
Entre pompier, police et hôpital, que devient le droit des patients au secret de la part des professionnels ?
Un blessé sur la ZAD [1]
Un soir à la ZAD, je suis blessé par une arme de gendarmerie. Vu la gravité de la blessure, l’équipe « médic » [2], après m’avoir évacué du champ où j’ai été blessé, ne me demande pas mon autorisation pour appeler les pompiers. Mes camarades et moi décidons de donner une fausse identité, n’ayant pas de papier sur moi, ils ne pourront pas vérifier. Les pompiers me posent quelques questions. Je ne me doute pas, à ce moment, que tout ce que je leur dis sera répété (…)
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