Infirmière des universités, non mais !

Ce qui caractérise aujourd’hui encore la profession infirmière, c’est la soumis- sion et l’effacement. L’universitarisation de la profession aidera-t-elle à en sortir ?

Aïssa Lacheb Boukachache
Écrivain, infirmier diplômé d’état


par Aïssa Lacheb-Boukachache, Pratiques N°52, janvier 2011

Documents joints

Lire aussi

N°52 - février 2011

De quelques dimensions de l’invisibilité des soins

par Françoise Acker, Paule Bourret
Le travail des soignants, celui qui a pour objet de soigner et /ou de prendre soin de la personne, est-il particulièrement invisible, et pourquoi ?
N°52 - février 2011

Ça ne se dit pas

par Frédéric Launay
Pourquoi les infirmier(e)s s’autocensurent quand ils parlent, même entre eux, de situations vécues dans leur travail.
N°52 - février 2011

De l’angoisse à la « nature » des femmes

par Pascale Molinier
Paraphrasant le titre du célèbre ouvrage de Georges Devereux, De l’angoisse à la méthode, on souligne ici la façon dont l’enfouissement du travail de care dans la féminité permet d’éviter le sujet …