N°62 - juillet 2013
Entre paradoxes et affinités
par , Pratiques N°62, juillet 2013
Le jeu, activité fictive, permet l’expérimentation. L’observation d’enfants venant à la ludothèque révèle le sérieux de cette activité qui peut être partagée pour inviter à la relation de soin.
Nadège Haberbusch
codirectrice et formatrice de l’as- sociation « Les Enfants du jeu »
www.les-enfants-du-jeu.com
Le titre de ce dossier résonne comme un oxymore pour nombre de soignants. L’argumentaire de ce numéro se fait l’écho des commentaires que suscite cette relation a priori paradoxale. La futilité du jeu s’oppose au sérieux de la médecine. Or s’il existe bien des oppositions entre ces deux termes, de quelles natures sont-elles ? Quelles peuvent être les relations entre le jeu (…)
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