Premier axe de réflexion En 1982, j’étais en Algérie, je travaillais comme médecin dans un dispensaire. Au début, on m’appelait « toubib » : l’homme qui soigne. Puis, sans que je m’en rende compte, on m’a appelé Hakim : le sage qui soigne. Un jour, je découvre que dans le petit sac à amulette (…)