L’exigence de sécurité juridique, corollaire d’un judiciarisation croissante de la société, a conduit le législateur à s’immiscer davantage dans les relations soignants-soignés. Confronté à des problématiques où se mêlent déontologie, éthique et pratiques ainsi qu’aux exigences de sa propre discipline, comment intervient-il ? Quels choix fait-il ? Petite illustration avec le dernier avatar en date : la loi accompagnement de fin de vie.