N°64 - février 2014
Secret et IVG
par , Pratiques N°64, février 2014
Si pour les mineures qui souhaitent que leur IVG demeure secrète vis-à-vis de leurs parents, le secret ne rencontre pas trop d’obstacle, pour les majeures on ne peut plus parler que de confidentialité.
Entretien avec Béatrice Charbonnier,
secrétaire au centre d’IVG du CHU d’Angers.
Propos recueillis par Sylvie Cognard
Pratiques : La loi relative à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) précise que : « Seule la réalisation d’une IVG dans un établissement de santé qui assure la dispense d’avances des frais permet de garantir un véritable anonymat de l’intervention. » Qu’en est-il au CHU ?
Béatrice Charbonnier : L’anonymat au CHU n’est plus possible, de par le logiciel de (…)
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