Le 9 avril dernier, c’était lundi, et je n’ai rien écrit dans mon journal. Bon, c’était lundi de Pâques, un jour férié, mais ce n’est pas une (bonne) raison. La bonne raison, c’est que j’étais pris, avec les collègues du collectif Rencontres, à la correction finale (c’était d’ailleurs une lutte, (…)