Anne Perraut Soliveres répond ici à Jacques Richaud : certes une loi n’est jamais parfaite, mais il faut dépénaliser certaines situations exceptionnelles. Et, contrairement à ce qui est craint par certains, une législation s’avèrerait protectrice pour des personnes dont on pourrait craidre qu’elles soient considérées comme une trop grande charge pour l’économie de la santé.