Didier Ménard instruit le procès des dérives du système de soins : Loi HPST, mise en déficit artificielle de la Sécu, dépassements d’honoraires, souffrance au travail, privatisation du système de soins effectuée au détriment des plus démunis comme des classes moyennes.Il y oppose, sans tabous, la conception de la médecine (utopique ?!) de son syndicat : un exercice collectif de la médecine basé sur l’écoute des patients et la prévention environnementale et sociale des maladies autant que sur le soin proprement dit, pratiqué en réseau interdisciplinaire, et rémunéré forfaitairement par l’Assurance maladie en lieu et place du délétère paiement à l’acte…