bonjour,
la minorité c’est plus de 300 000 personnes par an , certains ne veulent rien savoir de leur origine d’autres vivent trés mal cet abandon et cela pendant toute leur vie. savoir d’ou on vient , si la maman existe encore, si on a des fraties, le pourquoi de cet abandon sont autant de questions qui minent la vie de tous les jours et pour beaucoup, cela va crescendo lors de la naissance de leurs enfants. nous sommes pour l’adoption à condition qu’elle soit bien faite, dans la dignité et le respect du droit de l’enfant abandonné et pour l’harmonie de la famille recomposée. certains enfants veulent savoir à l’adolescence et il ne faut pas mentir , il faut plutot les aider. n’oubliez pas non plus qu’il n’est pas facile d’abandonner et que pour beaucoup de ces mères c’est un déchirement et un secret qui les minent jusqu’à la fin de leur jours. il y a aussi le dossier médical qui pourrait aussi sauver l’enfant en cas de maladie grave, comment connaitre les antécédents familiaux quand on ne sait rien de ses origines.
c’est un grand débat , bien sur il faut protéger la mère lors de l’accouchement mais il faut aussi aider l’enfant qui se pose des questions et recherche parfois bien avant sa majorité.
je ne suis pas une ancienne pupille mais épouse de pupille , petite fille de pupille, cousine d’enfant adopté et je sais comment cela se passe. si vous saviez comme c’est rassurant de savoir, beau de retrouver une fratie et un peu de tranquilité d’esprit. c’est malheureusement pas le cas de toutes ces personnes qui recherchent et pourtant nous sommes dans un monde où l’on étale tous les jours la vie privée au grand jour.
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# Le 5 avril 2011 à 08h50, par girafe En réponse à : Rapport Barèges sur l’accouchement sous X
bonjour,
la minorité c’est plus de 300 000 personnes par an , certains ne veulent rien savoir de leur origine d’autres vivent trés mal cet abandon et cela pendant toute leur vie. savoir d’ou on vient , si la maman existe encore, si on a des fraties, le pourquoi de cet abandon sont autant de questions qui minent la vie de tous les jours et pour beaucoup, cela va crescendo lors de la naissance de leurs enfants. nous sommes pour l’adoption à condition qu’elle soit bien faite, dans la dignité et le respect du droit de l’enfant abandonné et pour l’harmonie de la famille recomposée. certains enfants veulent savoir à l’adolescence et il ne faut pas mentir , il faut plutot les aider. n’oubliez pas non plus qu’il n’est pas facile d’abandonner et que pour beaucoup de ces mères c’est un déchirement et un secret qui les minent jusqu’à la fin de leur jours. il y a aussi le dossier médical qui pourrait aussi sauver l’enfant en cas de maladie grave, comment connaitre les antécédents familiaux quand on ne sait rien de ses origines.
c’est un grand débat , bien sur il faut protéger la mère lors de l’accouchement mais il faut aussi aider l’enfant qui se pose des questions et recherche parfois bien avant sa majorité.
je ne suis pas une ancienne pupille mais épouse de pupille , petite fille de pupille, cousine d’enfant adopté et je sais comment cela se passe. si vous saviez comme c’est rassurant de savoir, beau de retrouver une fratie et un peu de tranquilité d’esprit. c’est malheureusement pas le cas de toutes ces personnes qui recherchent et pourtant nous sommes dans un monde où l’on étale tous les jours la vie privée au grand jour.