ll est des choses que les patients appréhendent, dont ils n’osent pas parler, même s’ils savent que ce serait utile. Pour certains, il y a la peur du diagnostic, de l’éventuelle gravité, il y a aussi la honte, ou la peur de la honte, ou du jugement. Ce peut être l’inquiétude de se déshabiller (…)
Vos commentaires
# Le 10 octobre 2014 à 10h52 En réponse à : Puisque vous êtes là et moi aussi, on regarde ?
Je trouve ça bien plus subtile que mon « il faut que je vois ça », et pour vaincre l’habituel recul du à la pudeur « vous savez c’est mon travail ».
Merci : j’adopte...
Et bien souvent c’est lorsque la consultation est terminée, on peut dire « rhabillée », que la demande de la petite crème pour la chose mal placée survient, alors prendre les cinq ou dix minutes supplémentaires pour « voir ». Qu’il est difficile parfois de ne pas céder à la paresse de la prescription « à l’aveugle », arrangeant alors bien les deux protagonistes.
philippe lorrain