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Puisque vous êtes là et moi aussi, on regarde ?

, par Elisabeth Maurel-Arrighi

ll est des choses que les patients appréhendent, dont ils n’osent pas parler, même s’ils savent que ce serait utile. Pour certains, il y a la peur du diagnostic, de l’éventuelle gravité, il y a aussi la honte, ou la peur de la honte, ou du jugement. Ce peut être l’inquiétude de se déshabiller (…)

Vos commentaires

  • Le 10 octobre 2014 à 10h52 En réponse à : Puisque vous êtes là et moi aussi, on regarde ?

    Je trouve ça bien plus subtile que mon « il faut que je vois ça », et pour vaincre l’habituel recul du à la pudeur « vous savez c’est mon travail ».
    Merci : j’adopte...
    Et bien souvent c’est lorsque la consultation est terminée, on peut dire « rhabillée », que la demande de la petite crème pour la chose mal placée survient, alors prendre les cinq ou dix minutes supplémentaires pour « voir ». Qu’il est difficile parfois de ne pas céder à la paresse de la prescription « à l’aveugle », arrangeant alors bien les deux protagonistes.
    philippe lorrain

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