Alexis a choisi le 8 mai, comme son cousin Jules, pour pointer le bout de son nez. C’est un bébé tonique et paisible sauf quand le biberon se fait trop attendre.
Alexis a six semaines quand, un lundi matin, il a de la fièvre (39°3). Celle-ci diminue avec du Doliprane mais remonte quand les (…)
Cahiers de la médecine utopique
Des citoyens, soignants, chercheurs, patients, s’interrogent sur le soin et la santé dans toutes ses composantes : conditions de vie, de travail, environnement et défendent une politique de santé qui permette à tous l’accès à des soins de qualité.
Vos commentaires
# Le 1er août 2011 à 10h10 En réponse à : Un expérience aux urgences pédiatriques
Votre observation ne m étonne absolument pas !
Je vis ce type d histoires presque toutes les semaines.
La seule solution que j ai trouvé (mais c est dévoreur de temps) est de téléphoner régulièrement au chef de service. Si on a de bons rapports avec lui, il peut mieux surveiller ce que font les internes avec votre patient. Le manque d humanité et de sens critique et clinique des jeunes internes est de constatation quotidienne. Les protocoles sont nécessaires mais ne sont que des balises.il faut les connaitre mais être capable,en argumentant, de s’en écarter. C’est la différence entre un humain qui pense et une machine qui effectue son programme !
S il n’y a pas de prise de conscience de cet état de fait, la Medecine du futur est très mal partie !
# Le 1er août 2011 à 10h50, par Votreenfant En réponse à : Un expérience aux urgences pédiatriques
Votre observation ne m étonne absolument pas !
Je vis ce type d histoires presque toutes les semaines.
La seule solution que j ai trouvée (mais c est dévoreur de temps) est de téléphoner régulièrement au chef de service. Si on a de bons rapports avec lui, il peut mieux surveiller ce que font les internes avec votre patient. Le manque d humanité et de sens critique et clinique des jeunes internes est de constatation quotidienne. Les protocoles sont nécessaires mais ne sont que des balises.il faut les connaitre mais être capable,en argumentant, de s’en écarter. C’est la différence entre un humain qui pense et une machine qui effectue son programme !
S il n’y a pas de prise de conscience de cet état de fait, la Medecine du futur est très mal partie !
# Le 2 août 2011 à 20h31, par gervais En réponse à : Une expérience aux urgences pédiatriques
Des problèmes graves avec les hôpitaux (parisiens) j’en ai eu au moins trois : pour ma fille, mon fils, mon gendre.
Depuis avant qu’ils aillent consulter (même en urgence), j’ai droit à un appel téléphonique (ou au secours ?). Dr Cl. Gervais