Sourd à tous les avertissements, le gouvernement continue imperturbablement à promouvoir une vaccination qui fait eau de toutes parts. Témoins, les messages publicitaires encore diffusés sur les radios ("La grippe A/H1N1 n’est pas une affection anodine : on peut en mourir !) ou encore, la lettre (…)
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# Le 19 février 2010 à 10h51, par AG En réponse à : Grippe A/H1N1 : le SMG prend position
Bonjour,
en plus du scandale sanitaire, la gestion autoritaire et technocratique d’une épidémie virale somme toute banale( cf données épidémiologiques connues dès septembre pour l’Australie et la New -Zeland) met en lumière la dérive "dictatoriale" sanitaire des autorités de l’Etat Français.
En effet, par décret il a été institué un fichier de recueil des données personnelles en ce qui concerne la vaccination( pour des raisons de surveillance épidémiologique(!)[ si les vaccins étaient aussi sur qu’on l’affirmait, on en avait pas besoin, il suffisait de suivre le protocole pour la surveillance des effets indésirables comme pour tout médicament]), le traitement des données etant confié à un société privé, dans le décret, il ets indiqué que nul ne peut déroger à ce décret, en tant que chef de service d’un service de santé au travail dans un CHG, j’ai alerté le médecin de la DDASS chargé de l’alerte grippale car je n’étais pas d’accord avec ce fait car ce décret viole le code de déontologie ( atteinte au secret médical)et porte atteinte aux libertés individuelles, ce médecin m’a répondu que c’était comme cela et pas autrement. je m’explique, la vaccination est un acte médical à part entière, toutes les informations avec ce fait ne peuvent être divulgées à n’importe qui et lorsque dans un groupe on identifie qui a été vacciné, on identifie qui ne l’a pas été( atteinte aux libertés individuelles).
- J’ai alerté mon conseil départemental de l’ordre des médecins en novembre que j’ai relancé en février, (j’attends toujours une réponse ), en revanche le comité éthique du Conseil national de l’Ordre m’a répondu, il s’est également inquiété de ce fait, il a alerté le Pr Houssin directeur de la Santé mais n’a pas reçu de réponse (??) mais aucune conduite à tenir nous a été conseillé, personnellement, j’ai refusé d’entrer dans cette pratique portant atteinte, à mes yeux, au code de déontologie et nous avons, mon équipe et moi, rendu anonyme chaque rare bon de vaccination renvoyé au centre national de traitement ce qui me permet d’être serein vis-à-vis de cette dérivé "Orwenienne" des autorités de l’Etat.
Bonne journée
AG