Des lieux pour la formation

par Elisabeth Maurel-Arrighi, Pratiques N°67, novembre 2014

Comment se former pour mieux aider ceux qui dérapent, hallucinent, délirent, sont retranchés dans des « forteresses vides », dans des peurs paranoïaques ? Quand on est généraliste et aussi, après tout, quand on est psychiatre, psychologue ou psychanalyste ?

Élisabeth Maurel-Arrighi, Médecin généraliste, psychothérapeute Des difficultés multiples Il me semble que les difficultés sont multiples, tant du côté de la formation initiale, que du côté des institutions, des conceptions de la folie et du soin et de l’évolution de l’organisation du système de soins. Dans chacune des professions, les connaissances « officielles » transmises aux étudiants sont parcellaires selon les cursus, classifications psychiatriques. concepts éthérés et (…)

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Pratiques N°67 La folie. Une maladie ?

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