Stopper la violence, c’est possible

par Sandrine Pokorski, Pratiques N°75, octobre 2016

Sandrine Pokorski Directrice de l’ANAR (Association nivernaise d’accueil et de réinsertion) L’ANAR accueille les auteurs de violence sur décision de justice afin de les aider à prendre conscience de leur comportement et de tenter d’y remédier. En 2006, une loi est passée permettant l’éviction du domicile conjugal de la personne auteur de violences. Dans le processus d’accueil à l’ANAR, il y a d’abord un dépôt de plainte par la victime puis les auteurs sont orientés vers nous par (...)

La Revue Pratiques réserve cet article à ses abonnés.

Pour lire la suite, abonnez-vous ou

S'abonner

Abonnement avec accès immédiat aux articles.


Voir les offres d'abonnements

Commander ce numéro

Pratiques N°75 Les huis clos de la violence

Lire aussi

N°75 - octobre 2016

Édito

par Didier Ménard
Didier Ménard Médecin généraliste Tiens, revoilà les élections à la présidence de la République, dans la réalité actuelle faite de guerres, de souffrance, de peurs, de racisme… Un monde …
N°75 - octobre 2016

De la violence en huis clos théâtral

par Aurélie Ruby
Aurélie Ruby Metteuse en scène Spectacle Winter Guests, expériences d’exil — Compagnie du Pas Suivant Un travail de création théâtrale avec de jeunes réfugiés syriens ouvre un espace de violence …
N°75 - octobre 2016

Une violence familière

par Franck Chaumon
Franck Chaumon Psychiatre Se rendre sensible à la violence structurale de la médecine et de la psychiatrie, au sens où elle est intrinsèquement liée au métier lui-même, nous permet de mieux …
N°75 - octobre 2016

Violence éducative et santé publique

par Oliver Maurel
Olivier Maurel Professeur de lettres, écrivain militant, président de l’OVEO (l’Observatoire de la Violence Éducative Ordinaire) La violence éducative, couramment pratiquée dans presque toutes les …